Témoignages

“Lorsque j'ai voulu intégrer une ONG, j'ai établi une liste de critères et mon choix s'est alors porté sur FAUSI.

Je ne regrette pas ce choix : j'y ai été chaleureusement accueillie et désormais, c'est toujours avec une grande impatience que j'aime retrouver ma famille associative. Chaque manœuvre est un moment convivial propice au travail où chaque échange est un enrichissement personnel et professionnel.

Les bénévoles de FAUSI sont des hommes et des femmes de tout âge, de toute le France et d'horizon socio professionnel différent, et c'est une réelle richesse qui offre une complémentarité pour partir sereinement en mission.”

Stéphanie LoridantSapeur-pompier professionnel au SDIS 59

“Je m’appelle Julien Heckler, j’ai 24 ans et je suis actuellement élève officier au sein de l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr Coëtquidan. Membre de l’ONG, j’évolue depuis 2015 en tant que membre opérationnel au sein de cette association aux multiples valeurs et caractéristiques.

La synergie de corps et le rassemblement de multiples profils (sapeurs-pompiers professionnels, volontaires, infirmiers, spécialistes de l’urgence et du sauvetage déblaiement…) me permettent de vivre des expériences inédites lors des événements durant l’année ainsi que dans le cadre des exercices.

En 2017, j’ai participé à ma première mission de secours d’urgence à la suite du passage de l’ouragan IRMA sur les Antilles.”

Julien Heckler, 24 ansÉlève-officier, école Spéciale Militaire de Saint-Cyr Coëtquidan

“J’ai découvert FAUSI au cours d’un film que j’ai réalisé sur le tremblement de terre qui a frappé Haïti en 2010. J’ai tout de suite été fasciné par cet univers du secourisme en conditions extrêmes et me suis décidé à adhérer.

J’y ai rencontré une communauté de personnes qui incarnent une des valeurs fondamentales de mon existence : l’aide à son prochain. J’ai pu en faire l’expérience au cœur de l’horreur lors d’une mission humanitaire au Népal en 2015.

Notre équipe a fait preuve d’une humanité rare pour tenter de sortir d’un immeuble effondré le corps d’un jeune homme décédé et bloqué sous un pilier pour le restituer à son père afin qu’il puisse faire son deuil. C’était un moment d’une intensité dramatique et émotionnelle extrêmement forte comme on en vit peu dans une vie.”

Nicolas Brénéol, 34 ansDocumentariste et titulaire de deux masters